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mercredi 6 décembre 2017

Un Punisher...presque vrai

 Le Punisher, pour moi, ne passe pas à l'écran. Sa violence exagérée peut être intéressante, si bien traitée, en comics, mais sur grand écran...bof (autant se regarder à nouveau les Dirty Harry)
Des 3 adaptations du perso ci dessus je n'ai vu que la kitch 1ère, avec '"Ivan Drago"
La dernière, c'est celle ci...
 Je vois sur ce site, qu'un gars a fait un montage avec le visage de l'acteur, et des cases  bien antérieures, made in Romita Jr/ Janson tirée de l'un des meilleurs travaux du dessinateur, sur Punisher War Zone (scénar de Dixon)

 Assez bluffant par endroit, comme avec cette image, surtout une fois mise en noir et blanc
 J'aime aussi celle ci...
 tirée de cette case

2 commentaires:

Laurent Lefeuvre a dit…

Eh bien je t'invite à regarder la série Netflix.

Il ne nous reste que 4 épisodes (sur 13) à regarde, et je dois dire que je suis conquis.

On a le temps de développer quelque chose dans la série, que les films ne pouvaient pas : donner du temps et de l'épaisseur à plusieurs personnages (je les ai tous vus, en effet, autant regarder les Dirty Harry, modèle physique - et moral - du Punisher dans sa toute première version dessiné par Gerry Conway et Ross Andru en 1974).

Exemple : la relation Microship/Castle : Le premier est un lanceur d'alerte qui passe pour mort aux yeux de sa famille pour la protéger de ceux qui veulent le faire taire. Microship assiste donc, via le réseau de caméras qu'il a dissimulés chez lui, au délitement de celle-ci, jour après jour, sous ses yeux impuissants.


Par contre, Castle fait peu à peu partie de la vie de famille de Microship (ce qui rend fou ce dernier), mais cela ne fait presque que raviver les plaies chez Castle de l'absence réelle et définitive de la sienne.

Microship, comme tout lanceur d'alertes, est donc impuissant, mais conscient.

Castle est tout l'inverse. Sa famille est morte, mais lui ne peut les rejoindre.
Il semble donc en permanence dans un brouillard du passé, avec les morts, et ne réagit au présent que par la violence, animale, vestige de sa nature militaire, et dernier rempart contre la folie.

Il est donc inconscient et puissant à la fois.

Lui se salira les mains.

Bref, un duo improbable, radicalement opposés, mais qu'une étrange amitié finit par lier solidement l'un à l'autre.

Philippe Cordier a dit…

c'est ce duo qui me plaisait, entre autres, dans punisher war zone (Frank qui suit son pote allant chez le psy et ne s'intéresse qu'à ce qu'il a dit au psy, sur lui...)
A pas Netflix moi et je freine car c'est ultra chronophage mais je sens qu'on va tenter un mois gratuit un de ces jours et alors je suivrai ton conseil